Ces notions recouvrent un large panel de situations, et de sensations différentes.
Ce peut être un stress lié à une situation particulière. Par exemple un examen à venir (situation ponctuelle), le fait de devoir parler en public, ou bien être en relation avec un(e) certain(e) collègue (situation récurrente). Ce stress provient d’un blocage interne, qui se révèle dans un contexte particulier.
Le stress povient toujours d’une tension plus profonde, souvent plus ancienne, présente en permanence. On a du mal à l’identifier, à en prendre conscience, si ce n’était pas ces « dysfonctionnements » qui en manifestent la présence, qui sont en fait des conséquences de cet état sous-jacent. Un peu comme une fuite dans une maison, qui vient fissurer la peinture sur le mur.
Heureusement que la peinture se fissure, même si c’est contrariant de devoir s’en occuper, ça nous a permis de prendre conscience de la fuite d’eau, qui aurait pu causer des dégâts bien plus grands.
Comme manifestation du stress – fissures de la peinture – on peut retrouver notamment des problèmes de sommeil, d’humeur instable, réactions inadaptées, fatigue générale, manque d’engagement ou d’initiative dans la vie.
Le stress en soi n’est ni bon ni mauvais, il est naturel, c’est un mode de réaction du système nerveux à un stimulus de l’environnement. Si le système nerveux est sain et fonctionne correctement, ce stress sera géré rapidement et le système reviendra dans son état initial.
Si, comme la majorité des gens, votre système nerveux a déjà intégré des schémas de réponse défaillants, ou inadaptés, alors votre système nerveux répondra de façon disproportionnée par rapport à la situation (sur-activation). Il se peut aussi qu’il ne redescende pas complètement dans son état de repos une fois l’événement passé (tension nerveuse).
Le système nerveux est déséquilibré, il n’a plus toutes ses capacités pour faire face aux événements « anodins » de la vie de tous les jours. Pour certaines personnes, qui ont grandi avec le mécanisme d’adaptation de « faire face, prendre sur soi, tenir le coup » (se battre), c’est un cercle sans fin pour toujours tenir, dans lequel le système nerveux n’arrive jamais à se décharger, à se poser.
Pour d’autres, chez qui le mécanisme d’adaptation principal est la fatigue ou l’apathie (fuite), cela conduit à des périodes de fatigue intense, de repli sur soi, d’énergie basse, de désespoir.
Pour sortir de ces cycles, qui entraînent un déséquilibre de plus en plus grand, il faut d’abord prendre du recul par rapport à son propre fonctionnement, apprendre à s’observer avec les bons outils, la bonne attitude, grâce à un protocole tout simple.
Ensuite, libérer les tentions accumulées dans le sustème nerveux et dans les fascias (les tissus conjonctifs qui maintiennent tout le corps), grâce à l’autohypnose et d’autres méthodes à la portée de tous, aussi bien les adultes que les enfants.
Les résultats de la MM thérapie dans ces problématiques-là sont excellents. Une séance suffit déjà à modifier le comportement et l’état du système nerveux.
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